Lucy Hale
Dim 24 Mai - 16:13
La vapeur a envahi la salle de bain, formant une épaisse buée qui couvre le miroir, d’un voile opaque, derrière le rideau de douche, une silhouette fine se détache, elle ne parait pas plus grande qu’avant mais la tignasse dans son dos est plus dense, beaucoup plus dense malgré l’aplatissement crée par l’eau chaude. Le chant du liquide s’arrête, un couinement du robinet quand elle coupe l’eau froide puis la chaude, elle dépose le pommeau de douche et sort de la baignoire qu’elle a utilisée comme une douche.
La silhouette d’un jolie renard court le long de son flanc, une petite silhouette innocente qui observe l’automne. A son avant bras, rien, pas d’encre, ni même sur le côté gauche de son ventre, elle se saisit d’une serviette, enroule ses cheveux largement essorés et essuie le miroir de la main. Dans le reflet, un renard de petite taille file du reflet, sautille de l’armoire à pharmacie, saute sur le rebord de la baignoire…
--Ahri , qu’est-ce que tu fais ? – Lucy essaye de voir où la renarde est passée, elle se retourne vers le miroir et sursaute. Sur le rebord, elle se tient, couchée, sa queue balayant l’air calmement. – Ahri, tu es là.
Un beau sourire vient orner les lèvres de la jeune femme, elle approche sa main et laisse l’animal respirer sa peau, avant de la caresser du bout de son museau.
-- Alors c’est ici que nous allons ?
--On avait dit qu’on se poserait Ahri, c’est le moment, ça fait dix ans maintenant.
-- Tu as raison. Mais nous retournerons en kabbale ?
--Bien sûr, on y revient toujours.
Lucy sourit, elle dépose un baiser sur la tête de la créature. Cela lui parait être si lointain, son histoire avec Ahri, pourtant, elle s’en souvient comme si c’était hier.
[….}
La créature l’avait aidé, capturant son âme et la gardant dans sa gueule pour l’installer dans un corps, échangeant les âmes, cette condamnation, de l’autre âme, avait tourmenté Lucy, avant que le remord ne disparaisse. Elle n’était pas morte et Lucy ne voulait pas mourir. Accepter cette vérité, ce n’était pas compliqué, le corps qu'elle habitait était alors plus jeune que le sien d'origine, d'une dizaine d'année. Cependant, Ahri ne s’était rendue compte que trop tard, que Lucy n’était pas libre. Elles en avaient discuté, longuement, mais il était trop tard, elles étaient liées, complices et dépendantes l’une de l’autre. La créature s’était lié, malgré tout, l’âme de Lou était captive d’un corps qui la dissimulait.
En y repensant, la geek ne savait toujours pas qui était le détenteur de son âme, mais le corps qui la cachait, la créature qui la protégeait, lui avait permis de disparaître totalement. Ahri lui apprit, pendant près de dix ans, la kabbale, elles avaient vu, entraperçu, par des voyages, le monde Nephilim tomber, les gens qu’elle connaissait n’être plus que des noms, elle avait peur parfois, mais Lucy finit par revenir, sur terre, suivre le mouvement vers le japon, dans le plus grand des secrets.
Installées au petit balcon de l'appartement, Lou observe la ville, Ahri assise sur la rambarde, observe, curieuse. Elle se demande qui est encore en vie, pour les autres, Lucy n’est pas Lucy, elle s’est cachée, elle se fait nommer Trill pour Trillian. Qui sait ce qui va arriver désormais…elle l’ignore elle-même, et préfère se laisser guider par ce nouvel instinct, qui pourrait-elle aider ?
Elle sait parler anglais et japonais, elle sait toujours manier les ordinateurs, elle a toujours veiller à ne pas perdre ça, Lucy comprends toujours mieux le code que les gens, la kabbale…est devenue instable, Ahri veut découvrir le monde de Lucy, Lucy veut…revenir dans cet univers. Maintenant, les choses sont à écrire. La renarde disparait, un frisson dans le bas du dos, Lucy rentre dans l’appartement, sa chambre est plutôt spacieuse, Jimmy ne lui a pas laissé la plus grande, mais elle a assez d’espace pour son ordinateur, son installation ne vaut pas celle de l’Area, mais c’est suffisant, les choses viendront en temps et en heure, quand elle pourrait se payer mieux, avoir un chez elle peut-être. Lucy n’a pas envie de tricher et elle est déjà assez prêt d’un ancien infiltré, pour ne pas se risquer à plus.
Habillée d’un long t-shirt, d’un short simple, elle brosse ses cheveux, l’après shampoing lui a permis d’éviter de crier sur chaque nœud que les boucles provoquent une fois humide, elle se dirige vers la cuisine, histoire de préparer le café, Jimmy ne devrait pas tarder à rentrer, le matin est arrivé depuis un moment. 08heures vont bientôt sonner et Lucy sait parfaitement qu’il va passer bientôt la porte. Elle ne bouge pas de toutes façons, elle doit travailler une bonne partie de la matinée !
Elle sortirait probablement vers 13heures, pour aller déposer un message sur le tableau d'affichage de la gare la plus proche. Elle avait dit à Sévéride, qu'elle se la jouerait City Hunter, le jour où elle devrait communiquer avec lui. Même si elle avait du lui expliquer, que Nicky Larson obtenait ses contrats via le tableau d'affichage de Shinjuku, -Porte Est...
Donc, si elle devait le prévenir, de quoi que ce soit, ce serait là-bas qu'elle laisserait un mot, le fait est que depuis qu'elle était arrivée et installée, elle laissait un mot avec des indications qu'il comprendrait...
La silhouette d’un jolie renard court le long de son flanc, une petite silhouette innocente qui observe l’automne. A son avant bras, rien, pas d’encre, ni même sur le côté gauche de son ventre, elle se saisit d’une serviette, enroule ses cheveux largement essorés et essuie le miroir de la main. Dans le reflet, un renard de petite taille file du reflet, sautille de l’armoire à pharmacie, saute sur le rebord de la baignoire…
--Ahri , qu’est-ce que tu fais ? – Lucy essaye de voir où la renarde est passée, elle se retourne vers le miroir et sursaute. Sur le rebord, elle se tient, couchée, sa queue balayant l’air calmement. – Ahri, tu es là.
Un beau sourire vient orner les lèvres de la jeune femme, elle approche sa main et laisse l’animal respirer sa peau, avant de la caresser du bout de son museau.
-- Alors c’est ici que nous allons ?
--On avait dit qu’on se poserait Ahri, c’est le moment, ça fait dix ans maintenant.
-- Tu as raison. Mais nous retournerons en kabbale ?
--Bien sûr, on y revient toujours.
Lucy sourit, elle dépose un baiser sur la tête de la créature. Cela lui parait être si lointain, son histoire avec Ahri, pourtant, elle s’en souvient comme si c’était hier.
[….}
La créature l’avait aidé, capturant son âme et la gardant dans sa gueule pour l’installer dans un corps, échangeant les âmes, cette condamnation, de l’autre âme, avait tourmenté Lucy, avant que le remord ne disparaisse. Elle n’était pas morte et Lucy ne voulait pas mourir. Accepter cette vérité, ce n’était pas compliqué, le corps qu'elle habitait était alors plus jeune que le sien d'origine, d'une dizaine d'année. Cependant, Ahri ne s’était rendue compte que trop tard, que Lucy n’était pas libre. Elles en avaient discuté, longuement, mais il était trop tard, elles étaient liées, complices et dépendantes l’une de l’autre. La créature s’était lié, malgré tout, l’âme de Lou était captive d’un corps qui la dissimulait.
En y repensant, la geek ne savait toujours pas qui était le détenteur de son âme, mais le corps qui la cachait, la créature qui la protégeait, lui avait permis de disparaître totalement. Ahri lui apprit, pendant près de dix ans, la kabbale, elles avaient vu, entraperçu, par des voyages, le monde Nephilim tomber, les gens qu’elle connaissait n’être plus que des noms, elle avait peur parfois, mais Lucy finit par revenir, sur terre, suivre le mouvement vers le japon, dans le plus grand des secrets.
Installées au petit balcon de l'appartement, Lou observe la ville, Ahri assise sur la rambarde, observe, curieuse. Elle se demande qui est encore en vie, pour les autres, Lucy n’est pas Lucy, elle s’est cachée, elle se fait nommer Trill pour Trillian. Qui sait ce qui va arriver désormais…elle l’ignore elle-même, et préfère se laisser guider par ce nouvel instinct, qui pourrait-elle aider ?
Elle sait parler anglais et japonais, elle sait toujours manier les ordinateurs, elle a toujours veiller à ne pas perdre ça, Lucy comprends toujours mieux le code que les gens, la kabbale…est devenue instable, Ahri veut découvrir le monde de Lucy, Lucy veut…revenir dans cet univers. Maintenant, les choses sont à écrire. La renarde disparait, un frisson dans le bas du dos, Lucy rentre dans l’appartement, sa chambre est plutôt spacieuse, Jimmy ne lui a pas laissé la plus grande, mais elle a assez d’espace pour son ordinateur, son installation ne vaut pas celle de l’Area, mais c’est suffisant, les choses viendront en temps et en heure, quand elle pourrait se payer mieux, avoir un chez elle peut-être. Lucy n’a pas envie de tricher et elle est déjà assez prêt d’un ancien infiltré, pour ne pas se risquer à plus.
Habillée d’un long t-shirt, d’un short simple, elle brosse ses cheveux, l’après shampoing lui a permis d’éviter de crier sur chaque nœud que les boucles provoquent une fois humide, elle se dirige vers la cuisine, histoire de préparer le café, Jimmy ne devrait pas tarder à rentrer, le matin est arrivé depuis un moment. 08heures vont bientôt sonner et Lucy sait parfaitement qu’il va passer bientôt la porte. Elle ne bouge pas de toutes façons, elle doit travailler une bonne partie de la matinée !
Elle sortirait probablement vers 13heures, pour aller déposer un message sur le tableau d'affichage de la gare la plus proche. Elle avait dit à Sévéride, qu'elle se la jouerait City Hunter, le jour où elle devrait communiquer avec lui. Même si elle avait du lui expliquer, que Nicky Larson obtenait ses contrats via le tableau d'affichage de Shinjuku, -Porte Est...
Donc, si elle devait le prévenir, de quoi que ce soit, ce serait là-bas qu'elle laisserait un mot, le fait est que depuis qu'elle était arrivée et installée, elle laissait un mot avec des indications qu'il comprendrait...
Jimmy Chesly
Lun 25 Mai - 18:04
J’étais cuit ! Crevé. Lessivé, moralement. Plus que physiquement parce que j’avais le plein d’Orgone à mon actif. Les clientes s’étaient succédées et elles avaient assez dépensé, parfait ! Mais je rentrais crevé quand même, l’envie de prendre une douche, de me vautrer dans le lit et de mettre la télé en somnolant, je n’avais pas besoin de dormir, mais un peu de souplesse mentale…je disais pas non…
J’avais défait le haut du costume pour être à l’aise, ouvert quelques boutons, retiré l’élastique qui retenait mes cheveux et je rentrais, enfin, à la maison. Je me déplaçais en moto, du coup, je tenais mon casque à la main, ainsi qu’un paquet de brioche acheté à la boulangerie. Des hokkaido…c’était bon et je les trempais dans le café avec plaisir. En plus, ça faisait plaisir à Trill.
J’avais « assez » d’argent pour ne pas me restreindre sur mes achats, l’appartement était assez cosy et cela ne me dérangeait pas de lui faire plaisir. Elle n’était pas chiante en coloc, je ne me mêlais pas de ses affaires et elle ne se mêlait pas des miennes. Si j’avais été physiquement proche d’elle en kabbale, c’était passé, ce n’était pas plus que ça. Je la considérais comme une amie. Je prenais soin d’elle malgré moi, au fond, ça me faisait plaisir.
« Bonjour ! »
Lançais-je en ouvrant grand la porte et virant les chaussures dans l’entrée, j’avais adopté le fait de ne pas avoir de chaussure dans la maison, et même si l’appartement était pas 100% style japonnais, ça, ça me plaisait. J’avais choisis pour sa pièce centrale, un petit salon que j’avais occidentalisé, une cuisine de petite taille, elle était toute en longueur et n’avait pas un énorme espace. Deux chambres côtes à côtes, je m’étais gardé la plus grande quand même et une salle d’eau commune, les placards de partout étaient pratiques, le luxe nous permettait d’avoir un balcon sur lequel on pouvait manger.
Trill était moins chiante que Loreleï à la colocation. Pas compliqué, elle ne me haïssait pas !
Je lâchais mes clés dans la coupole de l’entrée et je passais la porte de droite directement pour rentrer dans le couloir/cuisine où je la trouvais et je lui tendais les brioches.
« Tiens, bon app ! Je peux ? »
Je lui piquais son café tout chaud et je lui fis un clin d’œil avant d’aller m’affaler dans le canapé, en retirant le haut de mes fringues, j’en soupirais d’aise, ça faisait du bien ! Sérieux !
J’avais défait le haut du costume pour être à l’aise, ouvert quelques boutons, retiré l’élastique qui retenait mes cheveux et je rentrais, enfin, à la maison. Je me déplaçais en moto, du coup, je tenais mon casque à la main, ainsi qu’un paquet de brioche acheté à la boulangerie. Des hokkaido…c’était bon et je les trempais dans le café avec plaisir. En plus, ça faisait plaisir à Trill.
J’avais « assez » d’argent pour ne pas me restreindre sur mes achats, l’appartement était assez cosy et cela ne me dérangeait pas de lui faire plaisir. Elle n’était pas chiante en coloc, je ne me mêlais pas de ses affaires et elle ne se mêlait pas des miennes. Si j’avais été physiquement proche d’elle en kabbale, c’était passé, ce n’était pas plus que ça. Je la considérais comme une amie. Je prenais soin d’elle malgré moi, au fond, ça me faisait plaisir.
Lançais-je en ouvrant grand la porte et virant les chaussures dans l’entrée, j’avais adopté le fait de ne pas avoir de chaussure dans la maison, et même si l’appartement était pas 100% style japonnais, ça, ça me plaisait. J’avais choisis pour sa pièce centrale, un petit salon que j’avais occidentalisé, une cuisine de petite taille, elle était toute en longueur et n’avait pas un énorme espace. Deux chambres côtes à côtes, je m’étais gardé la plus grande quand même et une salle d’eau commune, les placards de partout étaient pratiques, le luxe nous permettait d’avoir un balcon sur lequel on pouvait manger.
Trill était moins chiante que Loreleï à la colocation. Pas compliqué, elle ne me haïssait pas !
Je lâchais mes clés dans la coupole de l’entrée et je passais la porte de droite directement pour rentrer dans le couloir/cuisine où je la trouvais et je lui tendais les brioches.
Je lui piquais son café tout chaud et je lui fis un clin d’œil avant d’aller m’affaler dans le canapé, en retirant le haut de mes fringues, j’en soupirais d’aise, ça faisait du bien ! Sérieux !
Lucy Hale
Lun 25 Mai - 18:48
Lucy entend le bonjour, la bouche pleine d’un peu de pâte à chocolat bon marché, elle lèche ses lèvres, la bouche pâteuse, l’odeur de noisette flottant un peu autours d’elle. et de café aussi, puisqu’elle est en train d’en préparer un. Par réflexe, elle tends le visage, pour le voir à travers l’ouverture de la porte, lui réponds d’un bonjour enjoué, le bruit des clés tintant jusqu’à elle. Rapidement, elle le voit passer l’embrasure, il a l’air fatigué. Cela lui fait toujours un peu étrange de ne plus voir ses yeux clairs, ses cheveux court, ce style Witcher lui va bien, il émoustille la geek en elle, sans pour autant faire vibrer une corde trop sensible. Il faut dire qu’elle a encore en tête la version plus cramée du Nephilim, et elle a assez donné en Cabale. Son affection pour Jimmy Chesly s’arrête à de la tendresse fraternelle, elle n’a pour lui aucun élan spécifique, peut-être de l’attrait physique même s’il a beaucoup trop de muscle –et de poil- sur le torse.
Le sac tendu, Lucy le récupère, plongeant ses yeux vers l’intérieur du sachet, son ventre gargouille de plaisir, la diversion est bonne en tous les cas, laissant à Jimmy le temps de lui piquer son café.
--Hey !
C’est absolument sans conviction qu’elle proteste, il a l’air épuisé, elle ne va pas se fâcher pour si peu et à la place, elle replace une capsule dans la machine, pour se faire couler un autre. Le bruit de la machine, le vrombissement de la tasse, elle ouvre le frigo et sort le jus de fruit, sur un plateau, elle installe deux verres qu’elle remplit, le sachet de brioche et pose sa tasse avant de rejoindre Jimmy dans le salon.
L’exposition de son torse –et de ses poils – attirent l’œil de Lucy, elle n’aime pas forcément son physique, trop imposant, mais elle regarde, il est attractif, comme tout Nephilim et elle reste bloquée quelques instants, avant de secouer la tête et s’asseoir sur un fauteuil, prenant deux brioches avant de tendre le sachet à Jimmy.
--Tu as eu une grosse nuit ? –Lucy est une bonne coloc, elle s’intéresse à son ami, discute de sa nuit, chaque fois qu’elle le peut. Ils vivent ensembles après tout. – Moi j’ai travaillé tard, mais j’ai finis la mise à jour de ton site avec les nouveaux hosts que tu as engagé. Je t’ai fais un petit résumé de ce que j’ai pu trouver d’eux sur le net.
Rien de plus que quelques renseignements de réseaux sociaux ou de profil en ligne, une base toute simple que Lucy se permet de faire, elle a mis le tout sur une clé USB qu’elle lui a laissé sur sa table de nuit. Lucy pourrait faire plus, mais il lui a déjà demandé et elle a refusé, travailler encore pour un infiltré, ne lui va pas, elle ne lui a pas dit. Et de toutes façons, elle doit se remettre à niveau avant de faire quoi que ce soit d’utile. Sa machine n’est pas assez performante pour l’instant, ou assez sécurisé. Jouer sur la sécurité, justement, c’est ce qu’elle préfère.
--Il faut qu’on aille faire des courses, il va manquer des trucs, j’ai fais une liste.
Lucy a du mal à cuisiner, la sensation de perte de temps est toujours là, ça lui manque de pouvoir commander comme elle souhaite, mais elle ne peut plus se permettre de manger toujours de la livraison, plus maintenant. Ils ont un budget commun pour la semaine, chacun cuisine à tour de rôle,cette semaine, c’est le sien. Lucy se débrouille assez, même si elle traîne des pieds. Détachant un bout de brioche, elle dépose sur l’accoudoir un morceau que Ahri vient renifler, réapparue, la renarde prend le morceau et va s’installer derrière Lucy pour la grignoter.
--On ira en fin de matinée, ça te va ? -Elle trempe sa viennoiserie dans le café avant de la glisser dans sa bouche, le café coule sur son menton et elle l’essuie du revers de la main. Il fait bon de déjeuner et son ventre affamé se calme peu à peu, alors qu’elle prend son temps pour manger. – Tu veux pas mettre un t-shirt, t’es perturbant !
Lucy réalise qu’elle s’est arrêtée de manger pour lorgner sa musculature, elle secoue la tête et soupire, en lui faisant un regard noir, comme un reproche silencieux.
Le sac tendu, Lucy le récupère, plongeant ses yeux vers l’intérieur du sachet, son ventre gargouille de plaisir, la diversion est bonne en tous les cas, laissant à Jimmy le temps de lui piquer son café.
--Hey !
C’est absolument sans conviction qu’elle proteste, il a l’air épuisé, elle ne va pas se fâcher pour si peu et à la place, elle replace une capsule dans la machine, pour se faire couler un autre. Le bruit de la machine, le vrombissement de la tasse, elle ouvre le frigo et sort le jus de fruit, sur un plateau, elle installe deux verres qu’elle remplit, le sachet de brioche et pose sa tasse avant de rejoindre Jimmy dans le salon.
L’exposition de son torse –et de ses poils – attirent l’œil de Lucy, elle n’aime pas forcément son physique, trop imposant, mais elle regarde, il est attractif, comme tout Nephilim et elle reste bloquée quelques instants, avant de secouer la tête et s’asseoir sur un fauteuil, prenant deux brioches avant de tendre le sachet à Jimmy.
--Tu as eu une grosse nuit ? –Lucy est une bonne coloc, elle s’intéresse à son ami, discute de sa nuit, chaque fois qu’elle le peut. Ils vivent ensembles après tout. – Moi j’ai travaillé tard, mais j’ai finis la mise à jour de ton site avec les nouveaux hosts que tu as engagé. Je t’ai fais un petit résumé de ce que j’ai pu trouver d’eux sur le net.
Rien de plus que quelques renseignements de réseaux sociaux ou de profil en ligne, une base toute simple que Lucy se permet de faire, elle a mis le tout sur une clé USB qu’elle lui a laissé sur sa table de nuit. Lucy pourrait faire plus, mais il lui a déjà demandé et elle a refusé, travailler encore pour un infiltré, ne lui va pas, elle ne lui a pas dit. Et de toutes façons, elle doit se remettre à niveau avant de faire quoi que ce soit d’utile. Sa machine n’est pas assez performante pour l’instant, ou assez sécurisé. Jouer sur la sécurité, justement, c’est ce qu’elle préfère.
--Il faut qu’on aille faire des courses, il va manquer des trucs, j’ai fais une liste.
Lucy a du mal à cuisiner, la sensation de perte de temps est toujours là, ça lui manque de pouvoir commander comme elle souhaite, mais elle ne peut plus se permettre de manger toujours de la livraison, plus maintenant. Ils ont un budget commun pour la semaine, chacun cuisine à tour de rôle,cette semaine, c’est le sien. Lucy se débrouille assez, même si elle traîne des pieds. Détachant un bout de brioche, elle dépose sur l’accoudoir un morceau que Ahri vient renifler, réapparue, la renarde prend le morceau et va s’installer derrière Lucy pour la grignoter.
--On ira en fin de matinée, ça te va ? -Elle trempe sa viennoiserie dans le café avant de la glisser dans sa bouche, le café coule sur son menton et elle l’essuie du revers de la main. Il fait bon de déjeuner et son ventre affamé se calme peu à peu, alors qu’elle prend son temps pour manger. – Tu veux pas mettre un t-shirt, t’es perturbant !
Lucy réalise qu’elle s’est arrêtée de manger pour lorgner sa musculature, elle secoue la tête et soupire, en lui faisant un regard noir, comme un reproche silencieux.
Jimmy Chesly
Jeu 28 Mai - 21:40
Je suis bien sur le canap, la tête en arrière, torse nu, la tasse à la main, je ferme les yeux. Oh bordel, le calme de la maison serait limite bandant. Je pousse un grognement de plaisir, et relève la tête quand je sens l’orgone de Trillian. Bon…je ne dis rien, préférant les brioches que je mange pour ma part sans faire trempette dans le café, j’aime pas quand y a des trucs qui flottent dedans.
« Ma plus grosse habituée, elle a passé sa nuit à commander du champagne, et à me tripoter la nouille… »
C’est pas super glorieux.
« Merci pour le site et les renseignements, je regarderais ça plus tard. »
Même si Trillian ne parlait pas beaucoup d’elle, et que je ne posais pas beaucoup de question, je savais qu’elle était compétente. Je finirais bien par lui demander si elle était capable de…faire des trucs qui me seraient utile. Je me doutais d’avance que son dossier serait nickel…elle avait une façon de gérer les trucs, super méthodique, elle m’rappelait Lucy, je me demande bien c’qu’elle a pu devenir celle-là…
« Fin d’mat, parfait, j’aurais l’temps de lézarder dans une douche et devant une série. »
Je haussais un sourcil, un peu étonné de sa requête mais au fond ça me faisait rire, j’ricanais et je me relevais, me mettant un peu droit, j’regardais mon torse.
« Oh allez, tu vas pas m’dire que ça te perturbe, on a dépassé ce stade non ? »
Comme un couillon et parce que ça m’faisait rire, je contractais les pec’ pour qu’elle puisse admirer la danse des contractions, un pectoral après l’autre. Son regard noir me faisait marrer, franchement…j’avalais du café et je me relevais, direction salle de bain, pourtant, en pensant près d’elle, je soufflais à son oreille.
« Je dis rien moi quand tu portes pas de soutif et que je vois tes petits tétons sous ton haut le soir. »
Et je lui fis un clin d’œil direction la salle de bain. Bien sûr que je pourrais encore coucher avec elle, elle n’était pas prise de tête, mais la nécessité ne s’était pas présentée, niveau orgone j’étais tellement tranquille…
C’est pas super glorieux.
Même si Trillian ne parlait pas beaucoup d’elle, et que je ne posais pas beaucoup de question, je savais qu’elle était compétente. Je finirais bien par lui demander si elle était capable de…faire des trucs qui me seraient utile. Je me doutais d’avance que son dossier serait nickel…elle avait une façon de gérer les trucs, super méthodique, elle m’rappelait Lucy, je me demande bien c’qu’elle a pu devenir celle-là…
Je haussais un sourcil, un peu étonné de sa requête mais au fond ça me faisait rire, j’ricanais et je me relevais, me mettant un peu droit, j’regardais mon torse.
Comme un couillon et parce que ça m’faisait rire, je contractais les pec’ pour qu’elle puisse admirer la danse des contractions, un pectoral après l’autre. Son regard noir me faisait marrer, franchement…j’avalais du café et je me relevais, direction salle de bain, pourtant, en pensant près d’elle, je soufflais à son oreille.
Et je lui fis un clin d’œil direction la salle de bain. Bien sûr que je pourrais encore coucher avec elle, elle n’était pas prise de tête, mais la nécessité ne s’était pas présentée, niveau orgone j’étais tellement tranquille…
Lucy Hale
Ven 29 Mai - 8:29
Jimmy est devenue un peu rustre, mais il a l’air épanoui, bien plus qu’à Vegas, Lucy se demande toujours comment il le prendrait si elle savait, qui, elle était. Probablement bien, il n’est pas méchant, mais le souci avec un secret, c’est que plus de personne savent la vérité, plus le secret est en danger. Elle préfère donc continuer à lui mentir. Lucy déjeune, la faim matinale, celle qui forme un creux dans l’estomac et le fait grincer se calme sous l’arrivée du sucre.
--C'est laquelle ta plus grosse cliente déjà ? La présentatrice télé ou la PDG de je ne sais plus quoi ? Au moins, tu n’as pas à te plaindre du succès du L. Ni du tiens, t’en es venue à ne plus avoir besoin de faire du sexe, si tu veux, ou en tous cas, pas pour avoir de l’orgone ! Je trouve que c’est une bonne chose.
Avec son naturel décalé, Lucy sait parfaitement que les Nephilim n’ont plus la grandeur du passé, ils sont, non pas soumis à l’humanité, mais réellement obligé de faire avec. Au fond, elle se demande si ce n’est pas tout faux, si Sariel ne tire pas les ficelle. La théorie du complot est une chose facile, Lucy n’aime pas trop s’y abandonner, mais elle est devenue plus méfiante, par principe.
Lucy hoche la tête, elle essaye de ne pas montrer à son colocataire de quoi elle est capable sur un ordinateur, non que son talent soit exceptionnel, Trillian est une bonne hackeuse, elle a déjà commencé à retrouver ses marques, si elle doit y retourner, elle trouverait un autre pseudo pour ses actions. Quelque chose qui lui ressemble, elle n’y a pas encore réfléchi à fond, un tout petit peu, pour l’instant, elle sait qu’elle doit y réfléchir, mais cela ne va pas plus loin.
Le moment des courses décidé, Lucy se perd un peu sur la contemplation du torse de Jimmy. Elle n’a jamais trop aimé les poils de torse, sorte de forêt masculine, en plus, ça chataouille forcément le nez quand on veut y descendre ses lèvres. Elle lui demande de s’habiller. Ses yeux se froncent un peu plus à la réaction de Jimmy.
--Tu sais, que c’est pas sexy du tout ce que tu fais. Arrêtes. En plus, t’as piqué ça à Terry Crews, tu regardes trop Brooklyn Nine-Nine. Mais arrête !
Lucy hausse les yeux au ciel, il est bête, voilà ce qu’elle pense, mais il lui décroche un sourire quand même. Quand les hommes font les idiots, Lucy adore ça. C’est probablement sa faiblesse, elle secoue la tête, ils ont dépassé ce stade, parfaitement. Elle ne s’attends pas à la suite, la bouche ouverte sur la brioche, figée dans son geste, elle l’entends parler de ses petits tétons.
--Mes tétons ne sont pas petits ! –S’indigne-t-elle.- Et tu pouvais pas…ça se fait pas de mater sans prévenir que c’est visible, Jimmy tu abuses !
Elle ne lui en veut pas, offusquée par principe, Lucy pousse un soupir bruyant et amusée, secouant la tête. La renarde curieuse les a regardés, avant de disparaître de nouveau, laissant Lucy « toute seule ». Elle ne l’est jamais réellement, Ahri est là, toujours, tatouée sur sa peau, des fois visibles, des fois non, mais jamais loin dans tous les cas. Lucy trouve Jimmy idiot, elle ne s’attarde cependant pas plus que ça sur ce genre de chose, préférant finir de déjeuner, elle reste assise, bloquant quelques secondes sur l’extérieur qu’elle voit de sa fenêtre, c’est quand elle réalise que Jimmy a fini sa douche, qu’elle décide de se relever, ranger les tasses, mettre les brioches en cuisine et aller travailler.
Webmaster c’est plutôt un travail agréable, pour elle. Ce serait faux de dire que l’Area ne lui manque pas, l’ambiance, ses amis, mais c’est un autre temps. Elle n’est pas si nostalgique, elle se demande juste comment les choses sont, elle pourrait être curieuse et aller voir, rien que sur google, mais le faire ce serait idiot.
Le travail lui prends toute la matinée,quand c’est l’heure de sortir, Lucy se change, enfile une robe t-shirt estampillé d’un logo star wars et ses convers noires avec un stormtrooper. Sac informe plus tard, elle passe le pas de sa porte et tourne directement à droite pour rentrer dans la chambre ouverte, poser ses fesses sur le lit et se caler à côté de Jimmy, en prenant soin de ne pas mettre ses pieds sur le lit.
--T'as presque fini la série. Tu vas mater quoi après ?
Elle a du rattraper pas mal de truc depuis qu’elle est ici, mais Lucy dévore les séries et les films sans souci, les jeux vidéos, c’est plus compliqué, elle a remis les pieds dans eccho, pour voir ce que c’était devenu, c’est fou comme ça lui parait trop loin de ce qu’elle est devenue.
--C'est laquelle ta plus grosse cliente déjà ? La présentatrice télé ou la PDG de je ne sais plus quoi ? Au moins, tu n’as pas à te plaindre du succès du L. Ni du tiens, t’en es venue à ne plus avoir besoin de faire du sexe, si tu veux, ou en tous cas, pas pour avoir de l’orgone ! Je trouve que c’est une bonne chose.
Avec son naturel décalé, Lucy sait parfaitement que les Nephilim n’ont plus la grandeur du passé, ils sont, non pas soumis à l’humanité, mais réellement obligé de faire avec. Au fond, elle se demande si ce n’est pas tout faux, si Sariel ne tire pas les ficelle. La théorie du complot est une chose facile, Lucy n’aime pas trop s’y abandonner, mais elle est devenue plus méfiante, par principe.
Lucy hoche la tête, elle essaye de ne pas montrer à son colocataire de quoi elle est capable sur un ordinateur, non que son talent soit exceptionnel, Trillian est une bonne hackeuse, elle a déjà commencé à retrouver ses marques, si elle doit y retourner, elle trouverait un autre pseudo pour ses actions. Quelque chose qui lui ressemble, elle n’y a pas encore réfléchi à fond, un tout petit peu, pour l’instant, elle sait qu’elle doit y réfléchir, mais cela ne va pas plus loin.
Le moment des courses décidé, Lucy se perd un peu sur la contemplation du torse de Jimmy. Elle n’a jamais trop aimé les poils de torse, sorte de forêt masculine, en plus, ça chataouille forcément le nez quand on veut y descendre ses lèvres. Elle lui demande de s’habiller. Ses yeux se froncent un peu plus à la réaction de Jimmy.
--Tu sais, que c’est pas sexy du tout ce que tu fais. Arrêtes. En plus, t’as piqué ça à Terry Crews, tu regardes trop Brooklyn Nine-Nine. Mais arrête !
Lucy hausse les yeux au ciel, il est bête, voilà ce qu’elle pense, mais il lui décroche un sourire quand même. Quand les hommes font les idiots, Lucy adore ça. C’est probablement sa faiblesse, elle secoue la tête, ils ont dépassé ce stade, parfaitement. Elle ne s’attends pas à la suite, la bouche ouverte sur la brioche, figée dans son geste, elle l’entends parler de ses petits tétons.
--Mes tétons ne sont pas petits ! –S’indigne-t-elle.- Et tu pouvais pas…ça se fait pas de mater sans prévenir que c’est visible, Jimmy tu abuses !
Elle ne lui en veut pas, offusquée par principe, Lucy pousse un soupir bruyant et amusée, secouant la tête. La renarde curieuse les a regardés, avant de disparaître de nouveau, laissant Lucy « toute seule ». Elle ne l’est jamais réellement, Ahri est là, toujours, tatouée sur sa peau, des fois visibles, des fois non, mais jamais loin dans tous les cas. Lucy trouve Jimmy idiot, elle ne s’attarde cependant pas plus que ça sur ce genre de chose, préférant finir de déjeuner, elle reste assise, bloquant quelques secondes sur l’extérieur qu’elle voit de sa fenêtre, c’est quand elle réalise que Jimmy a fini sa douche, qu’elle décide de se relever, ranger les tasses, mettre les brioches en cuisine et aller travailler.
Webmaster c’est plutôt un travail agréable, pour elle. Ce serait faux de dire que l’Area ne lui manque pas, l’ambiance, ses amis, mais c’est un autre temps. Elle n’est pas si nostalgique, elle se demande juste comment les choses sont, elle pourrait être curieuse et aller voir, rien que sur google, mais le faire ce serait idiot.
Le travail lui prends toute la matinée,quand c’est l’heure de sortir, Lucy se change, enfile une robe t-shirt estampillé d’un logo star wars et ses convers noires avec un stormtrooper. Sac informe plus tard, elle passe le pas de sa porte et tourne directement à droite pour rentrer dans la chambre ouverte, poser ses fesses sur le lit et se caler à côté de Jimmy, en prenant soin de ne pas mettre ses pieds sur le lit.
--T'as presque fini la série. Tu vas mater quoi après ?
Elle a du rattraper pas mal de truc depuis qu’elle est ici, mais Lucy dévore les séries et les films sans souci, les jeux vidéos, c’est plus compliqué, elle a remis les pieds dans eccho, pour voir ce que c’était devenu, c’est fou comme ça lui parait trop loin de ce qu’elle est devenue.
Jimmy Chesly
Sam 13 Juin - 22:43
Ouai je l’aimais bien, elle n’était ni prise de tête, ni chiante, simplement elle voulait se détendre. Ces femmes n’avaient pourtant pas de réelle limite et elles pouvaient être pire que les mecs, mais bon, je ne faisais plus grand cas de ça.
J’emmerdais Trillian avec mes abdos, oui, j’avais piqué le truc, mais je savais quand même le faire et c’était le principal, non ? Elle ne marcha pas, mais sprinta carrément et moi, ça m’éclatait plutôt de la taquiner. Je n’avais pas forcément envie de coucher avec elle, enfin, si, un peu, parce que cela aurait été une relation d’un soir, d’une matinée plutôt et sans plus. Je n’en avais pas besoin pour ma force nephilim, probablement plus pour mon égo.
Quoi ? Bien sûr que je la draguais, Trillian était peut-être le seul élément un peu normal et facile dans ma vie, et je ne désavouais pas aimer beaucoup sa compagnie, elle était un peu space, mais elle était une fille agréable. Enfin, je ne cherchais pas à me caser, je voulais juste profiter, j’avais appris que ça ne faisait pas de mal et pui on était des adultes consentants alors !
Je prenais ma douche, sans trop chercher à réfléchir. Je me demandais, alors que l’eau me coulait dessus, comment les « vieux » nephs prenaient les choses, du genre Ur, je m’étais fondu dans le moule facilement, et pendant un instant, je l’imaginais à ma place, ce qui me fit sourire. Quand je finissais, j’avais la tête plus vide qu’en y rentrant, je n’étais pas un gars malheureux, j’étais juste un peu las du factice.
Je m’affalais dans mon pieu, la serviette nouée à la taille et je matais ma série.
J’étais à moitié dans le pâté quand Trill’ débarqua, je lui souriais, en mode content de la voir.
J’me relevais en laissant tomber la serviette et oui, j’lui montrais mon cul alors que j’enfilais un boxer puis le jean, sans me tourner vers elle.
Je me retournais et enfilais le t-shirt, réunissant les tifs en partis dans une attache simple.
Je pouvais toujours gérer seul, mais elle ne voulait pas vivre à mes crochets, moi je m’en foutais, je lui devais ça et l’argent n’était pas mon but franchement.
Lucy Hale
Dim 14 Juin - 11:03
--Il vaut mieux relativiser les choses, ça fait plus d’effet positif au moral que de se laisser aller au négatif. Non ?
Lucy lui sourit, elle n’a pas changé d’un pouce à ce sujet, refusant toujours de voir le mauvais côté des choses ou de se laisser aller à la pire des pensées, ce n’est pas ce qui ferait avancer le schmilblick de toutes façons et en donnant sa réponse, elle laisse planer un doux sourire sur ses lèvres.
-- Au moins tu n’as pas à faire qu’à des femmes que tu n’apprécies pas. Ça te change beaucoup d’avant tout ça, hein ?
Elle connait ou pense connaître la réponse. Lucy se souvient du Jimmy qu’elle a connu, même si ce n’était pas beaucoup de temps, il ne semble plus parler de son père et elle ne sait rien de sa véritable histoire, ils n’en ont jamais parlé, ils ne parlent que du présent de toutes façons. Lucy évoque peu de détail sur elle-même, ou en tous cas, peu de sa vie passée, mais ce n’est pas un problème. Elle a tout une histoire préfabriquée si besoin est.
Taquinée par le Nephilim, Lucy ne sait pas trop où se mettre, elle est gênée parce qu’elle ne sait pas trop ce qu’elle doit faire, et qu’il la prise au dépourvu, elle rit toutefois. Leur complicité est appréciable, elle considère Jimmy désormais réellement comme une présence fraternelle, même si elle peut lorgner sur autre chose, ou faire autre chose, il n’en reste pas moins qu’à ses yeux, elle le considère ainsi. Comme un frère, ils forment probablement une famille bizarre, mais elle aime bien.
--T'es con ! –Pouffe-t-elle
Lucy lève les yeux au ciel, ne comprenant pas tout à fait la drague et ne l’envisageant pas pour le coup, elle aime bien mater Jimmy et avoir quelques plus si affinités, mais ce n’est pas plus que cela, elle est passée à autre chose, préférant la complicité à des choses plus physiques !
De fil en aiguille, elle le laisse faire sa vie et fait la sienne, sur son ordinateur, Lucy pense à peu de chose, hormis ce qu’elle doit faire, c’est l’avantage d’aimer ça. Et surtout cela permet d’occuper son esprit, Ahri profite du calme pour se caler sur elle, dormir paisiblement. La jeune femme ne reprends conscience du moment que lorsque l’heure de partir arrive, elle s’habille et va dans la chambre de Jimmy qui n’est absolument pas prêt.
--Des séries du DC-Universe ? Titans peut-être ? Ils ont complètement foiré Starfire mais ce n’est pas si dérangeant, je te ferais un topo au besoin, mais si tu les regardes, je me les refais volontiers avec toi.
Lou hausse un sourcil en voyant son popotin, elle ne détourne pas le regard, elle s’en fiche sans s’en ficher, c’est plutôt une belle vue et puis, il va s’habiller, pourquoi penser à quoi que ce soit ! Elle roule des yeux.
--Je peux me payer à déjeuner. –Lâche—t-elle sans trop râler. – Non ça va, ne t’en fait pas, je fais juste attention, vivre en kabbale c’est plus facile que sur terre, ici l’argent est nécessaire mais je me débrouille, je fais juste attention parce que sinon j’achèterais plein de truc que je peux me payer mais sur le long terme, ce n’est pas raisonnable. –Elle se radoucit, non qu’elle ce soit réellement fâchée ou emportée, mais son air sévère était là. –C’est gentil Jimmy, si vraiment j’ai un souci,je sais que je peux compter sur toi. Je veux bien que tu m’offres à déjeuner,si tu y tiens, mais je peux m’offrir à déjeuner, c’est tout.
Parfois, l’argent la rend un peu soupe au lait, elle avait l’habitude avant, de commander à tous les repas ce qu’elle voulait, aujourd’hui c’est différent. La renarde saute sur le lit, apparut de nulle part, elle se faufile vers Jimmy et entre ses jambes, avant de disparaître encore.
--Elle a envie de manger au ramen je pense, c’est son endroit préféré. On y va ?
Lucy se relève et se dirige vers la sortie en trotinant, enfilant au passage ses chaussures, elle attrape ses clés et les deux sachets en tissu dont le filet, qui leur serviront pour faire les courses, filant des marches, ils croisent une voisine qui dédaigne un peu Jimmy et Lucy, elle n’est pas pro Nephilim, c’est certain, en tous cas, la rousse soupire et souffle à Jimmy.
--ça m’énerve ce genre de comportement, ça va ?
Désolée pour lui, la jeune femme tords sa bouche dans une grimace navrée, elle n’y est pour rien, mais elle déteste qu’on puisse blesser les gens, la voilà qui s’accroche à son bras et l’entraîne avec un joli sourire, elle dépose un baiser sur sa joue…
--Allez viens, j’ai un truc à faire après, je peux pas être en retard.
Lucy lui sourit, elle n’a pas changé d’un pouce à ce sujet, refusant toujours de voir le mauvais côté des choses ou de se laisser aller à la pire des pensées, ce n’est pas ce qui ferait avancer le schmilblick de toutes façons et en donnant sa réponse, elle laisse planer un doux sourire sur ses lèvres.
-- Au moins tu n’as pas à faire qu’à des femmes que tu n’apprécies pas. Ça te change beaucoup d’avant tout ça, hein ?
Elle connait ou pense connaître la réponse. Lucy se souvient du Jimmy qu’elle a connu, même si ce n’était pas beaucoup de temps, il ne semble plus parler de son père et elle ne sait rien de sa véritable histoire, ils n’en ont jamais parlé, ils ne parlent que du présent de toutes façons. Lucy évoque peu de détail sur elle-même, ou en tous cas, peu de sa vie passée, mais ce n’est pas un problème. Elle a tout une histoire préfabriquée si besoin est.
Taquinée par le Nephilim, Lucy ne sait pas trop où se mettre, elle est gênée parce qu’elle ne sait pas trop ce qu’elle doit faire, et qu’il la prise au dépourvu, elle rit toutefois. Leur complicité est appréciable, elle considère Jimmy désormais réellement comme une présence fraternelle, même si elle peut lorgner sur autre chose, ou faire autre chose, il n’en reste pas moins qu’à ses yeux, elle le considère ainsi. Comme un frère, ils forment probablement une famille bizarre, mais elle aime bien.
--T'es con ! –Pouffe-t-elle
Lucy lève les yeux au ciel, ne comprenant pas tout à fait la drague et ne l’envisageant pas pour le coup, elle aime bien mater Jimmy et avoir quelques plus si affinités, mais ce n’est pas plus que cela, elle est passée à autre chose, préférant la complicité à des choses plus physiques !
De fil en aiguille, elle le laisse faire sa vie et fait la sienne, sur son ordinateur, Lucy pense à peu de chose, hormis ce qu’elle doit faire, c’est l’avantage d’aimer ça. Et surtout cela permet d’occuper son esprit, Ahri profite du calme pour se caler sur elle, dormir paisiblement. La jeune femme ne reprends conscience du moment que lorsque l’heure de partir arrive, elle s’habille et va dans la chambre de Jimmy qui n’est absolument pas prêt.
--Des séries du DC-Universe ? Titans peut-être ? Ils ont complètement foiré Starfire mais ce n’est pas si dérangeant, je te ferais un topo au besoin, mais si tu les regardes, je me les refais volontiers avec toi.
Lou hausse un sourcil en voyant son popotin, elle ne détourne pas le regard, elle s’en fiche sans s’en ficher, c’est plutôt une belle vue et puis, il va s’habiller, pourquoi penser à quoi que ce soit ! Elle roule des yeux.
--Je peux me payer à déjeuner. –Lâche—t-elle sans trop râler. – Non ça va, ne t’en fait pas, je fais juste attention, vivre en kabbale c’est plus facile que sur terre, ici l’argent est nécessaire mais je me débrouille, je fais juste attention parce que sinon j’achèterais plein de truc que je peux me payer mais sur le long terme, ce n’est pas raisonnable. –Elle se radoucit, non qu’elle ce soit réellement fâchée ou emportée, mais son air sévère était là. –C’est gentil Jimmy, si vraiment j’ai un souci,je sais que je peux compter sur toi. Je veux bien que tu m’offres à déjeuner,si tu y tiens, mais je peux m’offrir à déjeuner, c’est tout.
Parfois, l’argent la rend un peu soupe au lait, elle avait l’habitude avant, de commander à tous les repas ce qu’elle voulait, aujourd’hui c’est différent. La renarde saute sur le lit, apparut de nulle part, elle se faufile vers Jimmy et entre ses jambes, avant de disparaître encore.
--Elle a envie de manger au ramen je pense, c’est son endroit préféré. On y va ?
Lucy se relève et se dirige vers la sortie en trotinant, enfilant au passage ses chaussures, elle attrape ses clés et les deux sachets en tissu dont le filet, qui leur serviront pour faire les courses, filant des marches, ils croisent une voisine qui dédaigne un peu Jimmy et Lucy, elle n’est pas pro Nephilim, c’est certain, en tous cas, la rousse soupire et souffle à Jimmy.
--ça m’énerve ce genre de comportement, ça va ?
Désolée pour lui, la jeune femme tords sa bouche dans une grimace navrée, elle n’y est pour rien, mais elle déteste qu’on puisse blesser les gens, la voilà qui s’accroche à son bras et l’entraîne avec un joli sourire, elle dépose un baiser sur sa joue…
--Allez viens, j’ai un truc à faire après, je peux pas être en retard.
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